Présentation: Ayumi Küken

Fiche d'identification

Mental de rageur ou pas...

Ayumi est une femme à problèmes, qui a tendance à s'accrocher à son passé car elle est effrayée par l'idée d'aller de l'avant. Elle a comme tout le monde, des qualités, mais aussi des défauts. Elle est foncièrement honnête et ne sait pas mentir, sauf grande nécéssité. Elle est très gentille et tolérante, mais pas soumise, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et seule le fait qu'elle n'est que cadette l'empêche de répondre de façon peu plaisante à un supérieur qui l'enquiquine. Elle a un caractère fort têtu mais jamais elle ne se montrera agressive envers qui que ce soit. Dans les défauts, les plus notables sont sa tête de pioche et le fait qu'elle peut parfois se montrer lâche en face d'un danger, céder à la peur. Mais surtout, elle est d'une sensibilité et d'une émotivité incroyable. Elle sait se tenir, mais elle ressent les évènements, même les plus petits, multipliés par deux et cela peut lui faire du mal, par exemple, la mort d'un camarade va l'affecter très fort. Incroyablement maladroite en amour, par manque d'expérience aussi, mais chuuut...c'est un secret....

Tu ressemble à quoi ?

Ayumi est une fille plutôt petite, casée dans un mètre et quelques soixante cinq centimètres. Elle est de morphologie fine malgré la présence de muscles assez forts. Elle a la peau très blanche, presque lactée et les taches de rousseur qui ornent ses pommettes et son nez s'éparpillent sur ses épaules, son dos et ses cuisse, principalement. En terme de charme féminin, elle ne possède pas grand chose, au plus une petite poitrine ferme et un fessier en "cul de prune", c'est à dire petit et rond. Dotée de petits pieds et de petites mains, cela ne vous épargnera pas les baffes si vous l'embêtez.
Son visage est fin et son menton pointu, avec de légères fossettes. Elle a un petit nez retroussé au bout, et une bouche aux lèvres fines qui sourit rarement mais sincèrement toujours. Ses yeux sont remarquables. Longs et effilés, sans être bridés pour autant, l'un est bleu mer et l'autre, vert feuille. Tous deux surmontés par des sourcils de la même couleur que sa chevelure. Noire avec des reflets blancs, cette tignasse est rarement coiffée, et le plus souvent tressée en une natte qui lui arrive en bas du dos (pas plus bas <>_<>)
Lorsqu'elle n'est pas vêtue de l'uniforme, elle porte souvent des couleurs foncées et froides, mis à part le rouge qui est une couleur chaude. Les couleurs qui lui vont le mieux sont le pourpre et le noir.

Racontes ta vie...

  Ayumi vivait paisiblement dans un village voisin du District de Shiganshina, en compagnie de son père, sa grande soeur de quinze ans et son petit frère de dix-sept mois. L'enfant alors comptant dix printemps aidait son père dans les champs et l'entretien des terres lorsque les travaux étaient simples. Elle avait un nombre restreint d'amis mais sortait souvent pour jouer avec eux ou pour emmenner son benjamin en promenade en leur compagnie. Seulement, elle et sa famille étaient considérés comme étranges, voire maudits ou dangereux car la mère avait perdu la vie en accouchant d'Ayumi. Mais, vous direz vous, comment peut-elle avoir un petit frère si sa mère était déjà morte avant la naissance de ce dernier ? Tout simplement parce que l'enfant avait été adopté. Légèrement déformé au niveau du pied droit, la femme l'ayant mit au monde quelques temps après avoir perdu son mari, ne se sentait pas de l'élever seule et l'avait donc donné au père des deux filles. Bref, donc la famille était mal vue par les villageois et encore plus car elle n'essayait même pas de protester contre cette terrible méprise.
Plus terrible encore d'avoir ignoré les habitants, car lorsqu'un homme a peur, il peut devenir très dangereux. Alors imaginez cette foule de gens qui, montés contre la paisible famille, réunissent leurs fourches et leurs torches et font route vers la maison des indésirables, imaginez leurs cris, imaginez l'aura effrayante qui émanait de tous ses villageois et vous aurez su imaginer la scène dans toute son inquiétante grandeur. Face à cela, il est évident qu'en père averti, le géniteur des deux filles les cacha, l'ainée dans un placard et la cadette ainsi que le benjamin, dans une armoire-bibliothèque, les deux meubles étant près des fenêtres en cas de besoin. La petite Ayumi serrait son frère endormi dans ses bras et avait collé son oeil contre la fente entre les deux battants de la porte. Elle vit son père placer une barre de bois en guise de verrou temporaire contre l'accès entrée à la maison. Ayant une pleine confiance en son père, elle recula tout au fond de l'armoire en berçant son petit frère pour qu'il ne se réveille surtout pas. Elle ferma les yeux, jusqu'à ce qu'une difficulté à respirer, un air irritant sa gorge se fasse sentir. Elle rouvrit les paupières, plaçant son col de chemise sur son nez en guise de filtre et regarda de nouveau par la fente. Elle aperçut son père, paniqué qui cherchait désespérément de l'eau. Alors, malgré l'insouciance de ses dix ans touts ronds, elle comprit que les villageois avaient mis le feu à la porte et elle envisagea qu'ils ne venaient pas pour une promenade de santé. Une idée lui effleura l'esprit, mais elle tenta de la chasser. Ils ne venaient pas pour...les tuer, si ? Si ? Eh bien si, put elle constater. Elle n'aurait pas dû regarder. Pourtant, ses yeux ne pouvaient plus se détacher de la scène qui se déroulait devant elle. Une poignée de villageois entra dans le salon après avoir réduit la porte en cendre et poussières. Quelques uns se dispersèrent dans la maison tandis qu'un ordre donné par une voix d'adolescent. D'autres se jetèrent sur son père, notamment le jeune garçon qui avait donné l'ordre de dispersion. Le paternel se défendit de son mieux, mais il ne faisait pas le poids contre quatre personnes déchainées et il se retrouva vite à terre. Quand les villageois s'écartèrent, l'homme était mort, brisé par les coups des assassins. Un long cri aigu se fit entendre, réveillant le petit frère d'Ayumi. Les quatres villageois se retournèrent vers le placard. Celui de l'ainée. Terrorisée, l'enfant dans l'armoire se mordit la lèvre inférieure jusqu'au sang.Elle vit le placard s'ouvrir et sa soeur en être extirpée sans ménagemet, puis frappée. Etranglée jusqu'à l'asphyxie, l'adolescente cessa bientôt de bouger.
 Les villageois assassins s'apprêtaient à ressortir, quand une nouvelle plainte se fit entendre. Elle provenait des bras d'Ayumi. Le benjamin s'était mis à pleurer. La brune fit tout son possible pour apaiser le bébé, mais rien n'y fit. De toute façon, il était trop tard. La petite vit l'armoire s'ouvrir. Elle fut jetée à terre et frappée. Elle vit son frère se faire tuer en quelques frappes, probablement le crâne éclaté.Elle même reçut tant de coups qu'elle perdit connaissance. Quand elle la retrouva, elle était dans une maison d'un village encore plus éloigné.
Plus tard, elle finit par rejoindre l'armée, par motivation de combattre les titans pour préserver l'humanité.Une jeune femme lui dit que son am l'avait trouvée là en venant leur rendre visite et avait appellé des secours au plus vite. On avait rien pu faire pour sa soeur, son frère et son père, mais elle, avait pu être sauvée et placée en famille d'acceuil . La petite fille grandit correctemment, bien que rongée par des cauchemards du jour ou elle perdit toute sa famille. Elle devint une jeune fille forte et l'année de ses quinze ans, elle entra dans l'armée, car il y avait peut-être des gens horribles, qui méritaient de mourir, mais le monde comportait tout de même des gens biens et ceux là ne méritaient pas de mourir...
"Die Flügel der Freiheit geblutet an diesem Tag. Die Krieg gegen dem Titanen gings erst richtig los und der Tod erwartete sie an der Wende von der Weg."