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 Rei ♦ i'M GoNNa Be THe aNTi-HeRo

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Rei Tanaka
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Rei Tanaka

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Date d'inscription : 06/09/2014
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Feuille de personnage
Groupe: Civils
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MessageSujet: Rei ♦ i'M GoNNa Be THe aNTi-HeRo   Rei ♦ i'M GoNNa Be THe aNTi-HeRo EmptyLun 28 Sep - 5:40

feat Petunia - Happy Tree Friends
Rei Tanaka
"And if you get in my way, you're dead!"

Présentation



« Bonjour !
Je m'appelle Yuuna Nakagawa, mais je passe sous la fausse identité de Rei Tanaka. Je suis née le 14 mai et je suis originaire du Japon, ce qui me fait 18 ans. Je suis une Femme. Je suis pansexuelle et actuellement Célibataire. Mon principal défaut est mon impulsivité et ma qualité majeure est ma loyauté. »

Taille : 1m60
Poids : 55 kg
Groupe : Civils
Métier : Étudiante en langues
Ambition : Vous verrez bien.
crédits


Mentalité



L'anti-héros. La méchante. L'ennemie. Ce sont, entre autres, les mots qui viennent évidemment les premiers à l'esprit des gens lorsqu'ils voient Rei. Ç'a toujours été comme ça. Malheureusement, ça ne semble pas être sur le point de changer.

Bien sûr que ce sont des noms qui lui collent à merveille. Pourquoi, vous dites ? Eh bien, simplement parce que c'est la vérité ! Que croyiez-vous ? Que cette jeune femme est tout ce qu'il y a de plus adorable sur la surface de la terre ? D'apparence peut-être, mais niveau caractère... C'est une toute autre histoire.

La personne de Rei est compliquée à en mourir, littéralement. Un moment, elle est la biatch la plus intense du monde, l'autre, elle est agressive comme le serait un lion qui s'attaque à sa proie, puis elle peut être carrément renfermée et silencieuse, refusant de faire contact avec les gens. Rien de très surprenant au vu de son passé, ma foi, assez difficile. De base, elle n'aime personne; elle est extrêmement méfiante, son regard est lourd de jugements et autres opinions pré-formées que ses parents adoptifs lui ont planté dans la tête. Elle n'est pas très sociable non plus, en fait, si vous l'approchez elle risque de répondre d'un ton tranchant et dégoûlinant de haine.

Rei est de ce genre de filles qui vont parler avec leurs poings plutôt qu'avec leur bouche. Elle déteste raisonner de façon calme; elle préfère mille fois se prendre une râclée que devoir user de la méthode pacifique. Au moins ça pimente un peu son quotidien dégueulasse qu'elle a à endurer auprès de sa fausse famille qu'elle considère comme d'horribles monstres plutôt que comme des humains. Grande amoureuse des substances illicites, elle n'hésite pas à en prendre dès qu'elle en a l'occasion; stress, colère, tristesse, dépression... Enfin, c'est surtout dans ce dernier cas qu'elle y aura recours. Autrement, elle n'en prend pas souvent. Seulement de temps en temps. Sûrement ça qui cause son agressivité hors du commun. Elle sait très bien qu'elle doit stopper cela mais elle n'y arrive pas... et franchement, elle ne semble pas avoir la motivation ni le courage d'arrêter sa consommation de drogues.

Impulsive. Ah oui, ça elle l'est. La jeune femme a tendance à réfléchir davantage avec ses poings qu'autre chose. Ce qui a le don de la foutre dans le pétrin plus souvent que nécessaire. Elle n'hésite pas à foncer dans le tas tête baissée et poings levés lorsque la situation le demande. Elle est du genre à passer à tabac peu importe qui ose simplement l'insulter. Rares sont les gens qui ne sont pas au courant de sa violence impulsive, d'ailleurs; après tout, sa réputation est basée là-dessus.

Rei est toujours en colère. Elle est en colère contre la vie, pour l'avoir empêchée de mourir toutes les fois où elle avait tenté d'en finir avec ces jours de merde qu'elle n'arrivait pas à effacer, même avec les drogues qui lui faisaient passer de bons moments où elle arrivait finalement à tout oublier. Seulement quelques moments. Elle était en colère contre le monde, pour lui avoir accordé cette vie dégueulasse d'enfant mal-aimée qu'elle a vécue depuis sa plus tendre enfance, venant du fait qu'elle avait survécu à l'accident qui avait emporté ses parents à la place. Surtout, elle était en colère contre elle-même, parce qu'elle était trop faible, mentalement et physiquement, pour remédier seule à sa situation. Elle le sait; la seule solution qu'elle entrevoit pour s'échapper de cette vie dont elle n'avait jamais voulue, c'était la mort. Les cicatrices sur ses bras et autour de son cou en témoignent.

Certes, elle avait en elle une part de cette gamine innocente qu'elle fut pendant un temps. La part adorable d'elle, celle qui ne ressort pas souvent, celle qui rêve depuis toute petite de devenir ce qu'elle a toujours voulu être. C'est certain que ça va sembler étrange, surtout venant d'une fille horrible dans son genre. Mais Rei, de son vrai nom Yuuna, rêve depuis toujours de devenir une ballerine.

Eh oui ! La gamine à l'enfance volée, dépressive au max' et agressive comme jamais avec tout le monde qui ose l'approcher, veut devenir une ballerine. Étrange, n'est-ce pas ? Qu'une fille comme elle, qui se cache derrière un nom faux et des couleurs artificielles, veule devenir une ballerine ? Peut-être. Mais c'est un secret à elle qui est très bien gardé.


Physique



Cette jeune femme possède une apparence assez unique. Du moins... si l'on ne considère point son jumeau, Ren, son apparence est unique. Mais ça on le laissera vous le dire. Rei possède une peau pâle, qui ne bronze pas au soleil, mais brûle en fait. Il n'est pas rare de la voir rentrer au soir d'une journée ensoleillée avec le nez et les pommettes rouges de par l'exposition au soleil. Par ailleurs, son épiderme est très sensible au toucher, raison pour laquelle elle n'aime pas qu'on tente un contact physique avec elle, intime ou non. Donc pas de câlins, pas de coups, pas de tape amicale dans le dos. Rien. Et puis détail. Autour de son cou et sur ses avants-bras, sa peau est couturée de cicatrices, d'ailleurs plus nombreuses sur ses bras et poignets. La raison est simple; elle a tenté de se suicider plusieurs fois, sans succès. La cicatrice qu'elle arbore autour du cou, si vous l'observez de plus près, présente même le motif de la corde qu'elle a utilisée pour... enfin, vous voyez le genre de truc qu'elle a tenté sûrement.

Son visage est celui d'une femme introvertie, qui ne présente souvent qu'une expression de lassitude extrême, ou encore d'une irriation ou d'une colère sans bornes. Elle ne sourit pas, elle ne montre pas sa tristesse, ni sa joie, ni son inquiétude. Ses traits sont enfantins, la font paraître plus jeune qu'elle ne l'est réellement malgré qu'elle soit majeure. Mais ce qui attire l'attention, ce ne sont pas ses traits d'enfant, mais ses yeux bleus, tellement bleus qu'ils semblent briller dans le noir. Pourtant... ils sont ternes, ses yeux; vidés de la vie qui y scintillait autrefois. Comment des yeux aussi morts peuvent-ils être si beaux...?

Ses cheveux sont d'une couleur bleue foncée, comportant un ombré violacé aux pointes. Ils sont très longs, très doux, et sont plutôt ondulés. Elle ne les coiffe jamais, prenant simplement le temps de les brosser au matin et au soir. Leur couleur, bien sûr, n'est pas naturelle; elle teint ses cheveux. Naturellement, ils seraient d'un rouge éclatant, un rubis des plus purs et très scintillants. Mais comme elle a honte de ses cheveux, après des années d'humiliation par rapport à leur couleur à l'école, elle les a teints.

Rei est petite et plutôt maigrichonne pour son âge. Certainement le résultat de toutes ces années de maltraitance qu'elle a subies au sein de sa famille adoptive... Qui lui ont laissé d'autres cicatrices en plus de celles qu'elle s'est infligées elle-même. Elle s'habille d'ailleurs de manière très 'conservatrice' pour ainsi dire; elle tient à cacher toutes les marques que son enfance torturée a laissées sur elle, ainsi que les nombreux tatouages qu'elle a acquis avec le temps, aux yeux des autres.



Histoire



Depuis longtemps, tu te demandes pourquoi tu es ici. Quelle est la place qui te revient. Tu n’en sais rien et, franchement, tu ne sais pas si tu as vraiment envie de le savoir. Était-elle ici, dans cette chambre que tu n’arrivais pas à appeler tienne, assise dans ta garde-robe parmi les vieilles fringues que tu revêts régulièrement, les genoux ramenés contre ta poitrine alors que les larmes coulaient sur tes joues ? Alors que tu t’efforces de demeurer silencieuse malgré les sanglots qui menacent de révéler où tu te caches ? Était-elle ici, dans cette maison où tu as vécu une enfance des plus horribles, la source de tous ces mauvais souvenirs, cette maltraitance dont tu es toujours la victime à ce jour ? Ou était-elle ailleurs dans ce monde, à un endroit peut-être plus calme, plus sécuritaire pour toi qui est devenue si fragile avec le temps ?

Je sais que tu en as assez. Ton coeur, il est comparable au verre, tu sais; un verre autrefois solide, affaibli par le temps, aux fissures visibles et nombreuses. Il craque sous le poids de tous ces jours passés dans la peur, dans l’anxiété, s’effritant peu à peu à cause de cette famille horrible dans laquelle tu t’es retrouvée. Tu enviais tellement ces gens que tu voyais à l’école, eux qui n’ont aucune idée de ce que c’est que de souffrir par la faute de sa propre famille. Ta jalousie t’a d’ailleurs toujours empêchée de te faire des amis et tu le sais. Enfin, depuis quelques années, en tout cas.

Parfois, et je le sais, tu te demandes ce que la vie aurait pu être si tes parents, tes vrais parents, n’étaient pas morts dans cet accident de la route qui t’a laissée orpheline en ce monde qui s’avéra te réserver un si cruel destin. Tu te demandes si ta mère t’aurait chanté une berceuse pour te mettre au lit, une qui aurait le même air que la douce mélodie de la boîte à musique que tu possèdes depuis toute petite. Tu te demandes si ton père aurait été un homme fort et compréhensif, qui adorait ses enfants plus que la vie elle-même. Oui, tu te le demandais. Mais tu sais comme moi que tu n’auras jamais de réponse à ces questions.

Tu as déjà essayé de poser des questions à ta famille adoptive à propos de tes parents biologiques. Oui, tu as essayé, mais… disons que ce fut une grossière erreur de ta part, Yuuna.

Jamais tu ne tentas d’en parler à nouveau, mais il était trop tard; ta descente aux Enfers était déjà entamée.

Ta famille prit plaisir à abuser de toi, à te rouer de coups et te cracher des insultes au visage comme une vipère crache son venin sur sa proie. Non… ce n’est pas tout à fait ça. En fait, ce n’était pas des insultes qu’on te lançait. Parce que ces gens, ton père adoptif en particulier, étaient plutôt du genre à te battre en te disant qu’ils t’aiment, qu’ils faisaient ça pour ton bien, que la douleur que tu ressentais alors qu’on te rouait de coups de poings et de bâton était nécessaire, normale. Et la gamine que tu étais à l’époque n’avait d’autre choix que de les croire. Tu ne pouvais pas savoir que c’était faux, tu étais si jeune…
Les années passèrent ainsi, ta famille ne se faisant que plus agressive envers toi. Tu allais à l’école, tu n’avais pas d’amis. On te maltraitait autant à la maison qu’en cours; les gens avaient apparement un problème avec les roux. Eh bien, toi tu en étais une chanceuse ! Tu étais née rousse, avec des yeux rubis si jolis que les gens te les enviaient. Mais ils le cachaient, ça ! Ils t’insultaient, t’injuriaient comme s’il n’y avait pas de lendemain. Et la solution que tu tentas de trouver contre ça, ce fut de teindre tes cheveux. Tu les rendis noirs, comme le jais, aux reflets bleutés et violacés. Et tes yeux? Tu tentas de les changer aussi; des verres de contact, bleus cette fois, remédièrent au problème. Mais les autres n’oublièrent pas. Et tu te retrouvas seule.

Lentement mais sûrement, tu te forgeas un sale caractère. Les gens à l’école continuaient de t’insulter, de t’éviter comme la peste. Tu ne comprenais pas pourquoi, cependant dès qu’on osait te dire quelque chose de méprisant à la figure tu n’hésitais pas à tenter d’arracher la gorge de cette personne. Et à la maison… Les choses empiraient. Ce qui était autrefois une simple taloche, des coups puissants et des insultes… C’était devenu une routine de plus en plus violente; tu ne pouvais trouver refuge que dans ta chambre, lorsque tu arrivais à verrouiller la porte derrière-toi avant que ton père n’arrive à te rattraper. Et quand il te rattrapait… disons que tu passais un sale quart d’heure. Pourtant, tu ne lui avais rien fait ! Tu ne te débattais même pas, tu ne faisais que te laisser faire, sachant pertinement que tu étais beaucoup trop fragile, physiquement et émotionnellement, pour lui faire face et te défendre. C’était peine perdue de tenter de résister. Et lui ? Bah, évidemment, il prenait plaisir à exercer son autorité horrifiante sur toi; te faire plier à ses désirs aussi sadiques les uns que les autres, te rouer de coups et te laissant souvent avec des plaies béantes sur le ventre, dans le dos, sur les bras et les jambes. Des endroits de ton corps que tu n’aimais pas montrer et dont ton père était parfaitement au courant de ce fait.

Oh, plusieurs fois tu as tenté d’en finir, oui. Les cicatrices que tu arbores autour de ton cou, sur tes avant-bras et certains autres endroits sur ton corps en sont la preuve. Tu souffrais, tellement que la mort te semblait mille fois plus agréable que ce que tu endurais; au Diable les gens de cette Terre qui sont tous aussi incorrigibles les uns que les autres. Sombrer dans l’oubli était une idée alléchante, presque trop belle pour être réelle. Alors tu tentas, en vain, d’en finir. Par tous les moyens que tu connaissais.  Sauf que la vie est quelque chose de cruel, vois-tu; chaque fois, quelqu’un te trouva avant que tu puisses quitter cet univers terrible qui te gardait près de lui. Chaque fois, à ton retour à la maison, tu te prenais la râclée du siècle. Des ecchymoses partout sur le corps, à la figure parfois, de grandes coupures un peu partout sur le corps, parfois même des fractures. À chaque fois que tu allais te faire soigner chez le médecin, tu te devais d’inventer une nouvelle raison pour tes blessures. Parce que ton fou de père adoptif te menaçait de te tuer si tu racontais ne serait-ce qu’un bribe de la vérité à quelqu’un. Et tu t’y tenais, tu gardais le silence; malgré que la mort te semblait la meilleure option… Tu ne tenais pas à mourir par sa main.

Depuis le temps… tu es tombée dans l’enfer de la drogue, des tatouages, des cigarettes et l’alcool, bien que ce dernier tu n’aimais pas autant que le reste. Ils te permettaient d’oublier l’abus dont tu étais la pauvre victime – certes, une victime au sale caractère qui n’a pas froid aux yeux et qui n’a pas la langue dans sa poche malgré sa fragilité physique et émotionnelle, mais une victime quand même. Tu en profitais tout en continuant tes études en langues à l’université. Et c’est à ce moment, au début de ta première année, que tu décidas d’adopter une nouvelle identité – une fausse identité.

Désormais, tu ne serais plus Yuuna Nakagawa. Tu serais Rei Tanaka.

Ta raison ? Elle est simple, pourtant; tu ne souhaitais pas que les gens te rappellent de mauvais souvenirs involontairement, même si tu n’étais pas prête à accorder ta confiance aux autres et que tu avais décidé de demeurer la petite bitch que tu es avec tout le monde. Tu ne voulais pas associer cette réalité avec celle que tu avais à la maison, alors c’est la solution que tu avais trouvée. Rei le jour, Yuuna la nuit. Et personne n’en serait jamais au courant.



Derrière l'écran



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Que pensez-vous du forum ? J'adore owo
Quelle est votre disponibilité ? Toujours Jesus Yeah
Autre chose ? L'Enrocil on en produit chez moi '-' /PAN
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